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Vampires vampires vampires : infection
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*** Relation avec les dragons: Draggelin Indice de badassitude: Aventurier occasionnel Statut marital: Fiancé-e
Sujet: Jasper von Hochen - duc malgré lui Mar 16 Mai - 15:02
Jasper L. von Hochen
Identité
Prénoms et Nom : Jasper Luan von Hochen Ville de résidence :Gothik City Âge : 299 ans (anniversaire le 16/05) Titre/Surnom : Duc Von Hochen Race : Vampire Profession : Chercheur en zoologie, activité non lucrative Don particulier :Yin Yang Un pouvoir qui n'apparaît que dans les familles avec des jumeaux et dont il est rare d'hériter. Dans le cas de Jasper, il est probable que cela soit dû à la nature hybride de sa mère, il a donc hérité du pouvoir de son père. En général usité par des jumeaux, ce don permet de faire ressortir un aspect particulier de la nature d'un ennemi, en l'exacerbant au maximum. Utilisé par les deux possesseurs jumeaux, il peut s'avérer extrêmement dévastateur.
Et vous ?
Pseudo :Alianora Fell Âge : ** *** Avez-vous lu le règlement? : *** Et le contexte? : *** Des questions ? Des remarques ? **** * *** *** * *****
L'avatar de votre personnage : Hyuk [VIXX]
The Road so Far ...
I only need the love which was taken from us Les débuts de Jasper von Hochen furent plutôt simples. Il naquit dans une grande maison avec une petite poignée de serviteurs, même pas dix. Ses journées toujours furent tranquilles. Il passait sans stress d’une activité à l’autre, goûtant aux plaisirs de la vie comme il était de coutume dans la maisonnée : sans se presser. Ses parents avaient créé un cocon joyeux et rassurant dans lequel il pouvait évoluer. Fils de noble de haut lignage mais sans la pression de la succession, il évolua avec uniquement les avantages de son rang. Argent, calices, jouets, plus tard matériel pour sa passion, il ne manqua vraiment de rien. Il avait même le luxe de bien s’entendre avec son cousin, Luscka von Hochen. D’une manière générale, il s’entendait bien avec tout le monde, mais Luscka était un cas un peu particulier. Médecin diplômé de Modernis State, il exerça très vite une certaine fascination sur le jeune Jasper. C’est peut-être ce qui le poussa vers l’étude scientifique et plus précisément celle des animaux.
Les parents de Jasper ne manifestèrent aucune hostilité ouverte face à cette décision, qui se fit en douceur et naturellement. Myrtille et Ludwag von Hochen formaient un couple ouvert et tranquille, à l’écoute, très portés sur le naturel et les choses les plus saines de la vie. Par exemple, Jasper ne croisa son reflet dans le fer d’aucune arme avant ses cinquante ans. Il fut préservé de la violence du monde extérieur autant que possible et tous ses repas étaient sévèrement contrôlés. Il était impensable que le petit chéri de Myrtille et Ludwag avale autre chose que du sang net d’impuretés. Lorsqu’il se rendait au manoir Von Hochen pour les visites familiales, l’ambiance était si différente de chez lui que cela lui faisait toujours comme un choc. D’abord, et en dépit des demandes de Ludwag, Jasper put contempler les armes en possession de Luscka. De loin, mais tout de même. Quand il demanda si elles pouvaient trancher, les yeux écarquillés, son cousin éclata de rire. Un rire si fort et si grave que Jasper sentit ses os trembler de peur. Il se passa plus de six mois avant que Jasper n’ose se retrouver de nouveau seul avec lui. Pour sa défense, il n’avait qu’une petite vingtaine d’années et était encore très sensible. Il n’y avait pas que cela qui pouvait choquer le jeune Jasper. Au manoir, Ludwig, son oncle, n’hésitait pas à critiquer les choix de son fils. Il aurait préféré qu’il fasse une vraie carrière dans l’armée, bien sûr. Il se montrait dur et implacable. Au yeux de Jasper, même la mère de Luscka était dure et implacable. Il avait du mal à comprendre comment on pouvait aimer son enfant et le traiter de la sorte, aussi il en conclut que son oncle et sa tante détestaient simplement leur enfant.
Avec le temps, Jasper comprit son erreur. Pour autant, il ne changea pas de mode de vie, ce qui semblait combler ses parents. Vers cent ans, il commença à écrire et compiler les résultats de ses recherches. Les petits ouvrages se vendirent mal, mais il était déjà fier de la petite dizaine achetée. Il poursuivit donc ses efforts. Dans la maison, on lui octroya un espace pour son étude. Une sorte de laboratoire fut construit sur le terrain, un peu à l’écart de la demeure principale, dans lequel il pouvait accueillir des animaux vivants. Quatre chevaux pouvaient y tenir à l’aise. Ses premières expérimentations se firent sur les poules de la maisonnée. Sa mère étant une amatrice de viande animale, il y avait du poulet à profusion. Jasper n’aimant pas gâcher la vie, il apprit bien vite à cuisiner les œufs qui ne seraient plus couvés - il avait découvert que tous n’étaient pas fécondés - et se prit d’affection pour la volaille cuite.
Presque deux cents ans plus tard, un premier drame arriva dans la famille Von Hochen. Les parents de Luscka moururent dans un accident aux circonstances un peu étranges, laissant seul le cousin de Jasper dans son grand manoir. Les dix années qui suivirent, la branche cadette des Von Hochen se mobilisa autant que possible pour apporter un peu de joie dans le cœur du nouveau Duc. Un rang avec beaucoup de responsabilités, facilité heureusement par l’amitié du prince Yvan pour Luscka. Cet état de fait rassurait beaucoup Jasper, qui s’inquiétait au sujet de son cousin, toujours si sombre et sanguinaire. Et puis arriva l’impensable pour Jasper. Ce jour là, il fut réveillé en plein midi par surprise, secoué par une servante. Sans comprendre ce qui se passait, il fit ce qu’on lui ordonnait : il sortit de son lit, enfila des bottes et une chemise, puis se précipita dehors. Une fois dans la rue, il put contempler la beauté dramatique de la situation. Sa maison, la maison qui l’avait vu naître, la maison dans laquelle il avait grandi et qui conservait dans ses murs ses meilleurs souvenirs, flambait avec force, ses nouveaux bras écarlates tendus vers un ciel noirci de fumée.
Ce jour là, Jasper perdit tout. Sa maison, ses souvenirs, ses recherches en cours, une vingtaine d’animaux, le poulailler de sa mère, ses livres préférés, son exemplaire unique du microscope LaPluie... Et ses deux parents. Sans que cela ne soit vraiment sujet à discussion, il trouva temporairement refuge au manoir Von Hochen, où Luscka et son majordome Alfred l’accueillirent à bras ouverts. Il devait profiter de cette période pour faire son deuil et reconstruire la maison.
Quatre ans plus tard, Jasper est toujours au manoir Von Hochen. Il a refait entièrement sa vie. Et la maison de son enfance est toujours à l’état de cendres et de débris. Son cousin, beaucoup plus permissif qu’il ne l’avait cru toutes ces centaines d’années, lui laisse faire ses recherches comme il l’entend, même si cela impose d’étranges animaux venus du désert dans la demeure. Depuis un an, Willow Steel, une humaine forgeronne qui a vu son atelier exploser, vit également au manoir. Jasper tomba presque tout de suite sous son charme cru, qui n’était pas sans lui rappeler, par quelques aspects, la brutalité de la branche principale des Von Hochen. Leur idylle se fit, comme tout dans la vie de Jasper, avec naturel et douceur. A ce jour, ils sont encore fiancés, même si Willow est plongée dans un profond coma. Jasper garde l’espoir qu’un jour, Luscka saura la guérir et la lui rendre.
Quant au titre de Duc, il a changé de main. Suite au mariage précipité de Luscka et Elijah von Dast, le futur Comte annoncé, Jasper a été obligé de se parer de ce rang qu’il était loin de désirer. Les nouvelles responsabilités qui lui incombent déjà, alors même que la cérémonie officielle de passation n’a pas eu lieu, l’écrasent. Il n’a aucune idée de ce qu’il devra faire. Et que cela tombe en même temps que le coma de sa fiancée ne l’aide en rien. Mais, comme toujours, Jasper essaie de garder le sourire en espérant ainsi chasser les mauvaises choses. On ne sait jamais, la situation pourrait s’arranger d’elle même.
Picture
I wish I could run naked everywhere Visuellement, Jasper fait honneur à la famille Von Hochen. Tout comme ses parents, tout comme son oncle, tout comme Luscka, il est grand. Il atteint largement le mètre quatre vingt sept et dispose d’une carrure plutôt musclée malgré son manque d’entraînement physique. En comparant au reste de sa famille uniquement, il pourrait certes être décrit comme un personnage de petite taille et maigrichon, mais au milieu de toute la City, il est un spécimen impressionnant. Autre point l’associant facilement aux Von Hochen, il a pour habitude d’être habillé de manière pratique. Sa collection de pulls de laine trop larges occupe l’essentiel de sa garde robe, à côté d’une poignée de pantalon en jean dérobés gentiment à Luscka et en provenance de Modernis State. Après avoir essayé cette nouveauté vestimentaire, Jasper a décrété qu’un tel pantalon était beaucoup plus pratique que le cuir (trop serré) ou le coton (trop encombrant). Dans le jean, Jasper est à l’aise et n’a pas peur de perdre ses culottes, quelle que soit son activité. Une alternative à ce manque de goût Gothik est la nudité. Jasper est tout à fait à son aise sans aucun vêtement, ou très peu. Il lui arrive régulièrement de rendre visite à ses protégés du moment en bottes et ganté uniquement. Selon les cas, il lui arrive tout de même d’enfiler un caleçon, histoire d’éviter quelque accident embarrassant. En cherchant bien dans ses coffres, on pourra toutefois dénicher quelques tenues d’apparats pour les bals auxquels il ne se rend pas. Jasper a une coiffure tout aussi négligée que ses tenues, de grandes mèches châtain clair tombent sur son front, laissant découvrir quelques nuances rousses à la faveur d’une torche ou de l’une des nombreuses cheminées du manoir. Cette frange qu’il oublie toujours de couper en vient parfois à cacher ses grands yeux gris souriants et ses sourcils étonnamment droits et plats. Pour autant, Jasper a un visage extrêmement expressif, plutôt spécialisé dans la joie et la bonne humeur. Quand, parfois, la tristesse a raison de lui, son expression en devient déchirante et le voir vous oblige à sacrifier votre meilleur mouchoir de soie brodé des initiales de votre vénérable ancêtre afin qu’il puisse éponger son imposant nez plein de morve. Bien qu’adorable, Jasper ne peut pas pas non plus cacher sa profonde curiosité pour la vie en général, la faune du monde en moins général. Son regard est toujours alerte, comme à la recherche d’un secret à percer. Il a toujours dans ses poches de quoi prélever des échantillons et noter des remarques. Lorsqu’il exhibe ses instruments, c’est dans une pluie de miettes, qu’elles aient appartenu à un en-cas pour lui même ou à une friandise pour l’un de ses animaux. L’apparence de Jasper est plutôt pauvre en bijoux. Il ne porte qu’une bague, récente, le protégeant - du moins c’est ce qu’il espère - de la moindre tentative de séduction. Il s’agit de sa bague de fiançailles, un large anneau d’acier trempé serti d’une gemme rouge foncé. Il a un tatouage discret sur l’intérieur de la cuisse droite, le blason des Von Hochen. Malgré son éducation largement différente de celle de la branche principale de la famille, il est très fier de porter ce nom. Un petit secret à lui.
Brain
I do have hope for us C’est à présent une évidence, Jasper est quelqu’un de curieux, plutôt intelligent et sympathique. Il aime voir, découvrir surtout, annoter, expérimenter, observer. Son sens de la déduction est puissant, il glisse facilement d’une observation à une conclusion, puis à une démonstration contraire. Organisé, il tient ses papiers en ordre pour toujours s’y retrouver. Visage du bonheur quand il entre dans une pièce, Jasper se fait un devoir d’être le destrier de l’optimisme partout où il passe. La vie agréable qu’il avait auparavant sans effort, il souhaite la retrouver, même si cela doit passer en premier lieu par des faux semblants. Mais du moment que c’est agréable, quelle importance ? Malgré tout plutôt mâture dans son attitude, Jasper n'est pas niais. Il aime faire des blagues, légères et plaisantes. Son défaut principal est de refuser d’être en phase avec la réalité sociale de son environnement. Les bals, les coups de poignards de la noblesse, tout cela l’effraie et le rebute. Il préfère de loin la sauvagerie de la faune, naturelle et mue par l’instinct de survie. Voilà quelque chose de simple à intégrer.
Etant un Von Hochen, Jasper n’est pas étranger au drame. En fait, sous ses dehors ensoleillés, il est même plutôt triste. A travers son histoire et ses espoirs, Jasper porte un lourd fardeau à faire pleurer dans les chaumières. Bien qu’il trouve toujours son cousin un peu sombre et trop enclin à la dépression, il a eu son lot de nuits passées sous la couette ou ses journées à déambuler dans la forêt comme un perdu. La mort de ses parents lui a fait découvrir une part de lui qu’il pensait ne pas posséder, le choc n’en a été que plus grand.
Pacifiste au possible, respectueux de la vie, Jasper n’a jamais utilisé son pouvoir intentionnellement. Dès qu’il a su le maîtriser, il l’a comme enfermé à double tour en espérant ne plus jamais avoir à le libérer. Les explications de son père sur le sujet l’ont effrayé et il refuse à devenir un bourreau, même dans des circonstances dîtes légitimes. Ne l’ayant pas développé, il espère ainsi échapper à l’ordre direct et comtal de l’utiliser. Après tout, à sa connaissance, il est aujourd’hui le seul détenteur de ce don à Gothik City.
Du côté de l’amour, Jasper a une bonne expérience. Il a côtoyé les femmes comme les hommes, de types différents, de races distinctes... Il accueille volontiers dans son lit qui le veut et lui plaît au premier coup d’œil. Plutôt du genre à papillonner, il a sut avoir trouvé la perle rare en découvrant Willow et compte bien ne plus butiner d’autres fleurs. Décidé à se marier avec elle et à s’y tenir pour toujours, il ne regarde plus personne d’autre. Parfois, il a l’impression de vivre ce que son cousin a lui même vécu avec le prince Elijah. Sauf qu’il n’en aura certainement pas pour six cents ans, sa fiancée étant humaine.